Depuis la maternelle jusqu’au lycée, des séances d’EARS sont menées. Elles sont intégrées à l’enseignement classique et permettent l’ appropriation d’une personnalité propre pour chaque enfant, au sein d’un savoir et d’un environnement communs.
Faire naître un enfant n’est pas suffisant, il faut aussi le mettre au monde. Boris Cyrulnik
Certains pourraient penser qu’il est bien tôt en maternelle ou en primaire pour aborder ces questions à l’école. C’est oublier que les enfants se posent très tôt des questions et particulièrement la question des origines.
- où j’étais avant le ventre de maman ?
- d’où viennent les bébés ?
- comment c’est fait une fille ou un garçon ?
- pourquoi il a un zizi ?
Ils s’inquiètent de la mort ou de la maladie, ne savent que faire et que dire de leurs émotions. Adaptées aux âges selon les différents niveaux de classe, les actions menées ont un langage spécifique, dans la délicatesse des mots.
Les actions durant le collège permettent aux jeunes de vivre les transformations de la puberté plus paisiblement . Elles encouragent l’expression individuelle et collective favorisant l’acquisition peu à peu d’une liberté personnelle de conscience et d’esprit critique.
En lycée, les animations favorisent les questionnements des jeunes et participent à la construction du futur adulte, autonome et libre
Les interventions EARS sont menées soit par des animateurs extérieurs formés et reconnus pour leur expertise, soit par des enseignants ayant reçu une formation EARS. Ces actions sont supervisées par le référent diocésain de la DDEC, Brigitte ROUDIERE (ears@ddec26.fr)
Sur notre Blog, des ressources éducatives à la rubrique EARS : http://ressources.ddec26.site/category/education-affective-et-relationnelle/